La pire semaine de L’Algo de Paulo… Et la meilleure à venir 

 

La pire semaine de L’Algo de Paulo… Et la meilleure à venir

Tout le monde se souvient du 14 février 2017. Ce soir-là, le FC Barcelone fut éclaté, écrabouillé, ridiculisé par le Paris Saint-Germain avec un Lionel Messi fantomatique. Fallait-il pour autant réduire le club espagnol à ce fiasco, et en conclure que la Pulga était terminée ? Non, bien entendu : les performances d’une équipe se jugent sur une saison, celles d’un joueur sur une carrière.

Et un seul week-end ne peut pas tout remettre en cause. La preuve : une vingtaine de jours plus tard, les Catalans avaient pris leur revanche sur les Français de manière incroyable (6-1) tout en ayant eu le temps de cogner Leganes (2-1), l’Atlético chez elle (2-1), le Sporting Gijon (6-1) ou le Celta Vigo (5-0). Sans oublier leur set de tennis, déjà, administré à Alavès (6-0) juste avant leur chute dans la capitale. Avec, au passage, huit buts pour l’Argentin. Tu nous vois venir ?

Sauce catalane

Loin de nous l’idée de comparer la plate-forme au Barça de Messi. Reste que pour L’Algo de Paulo, la notion de temporalité est similaire. Comme les Blaugranas en février 2017, L’Algo a passé une grosse semaine de merde : dans le jargon, on appelle ça un BAD RUN. Mais comme les Blaugranas en février/mars 2017, L’Algo devrait finalement connaître un super mois de décembre 2019 : dans le jargon, cela s’explique par le phénomène de VARIANCE.

Sauce sucrée-salée 

Reprenons donc notre histoire en chiffres (en prenant en compte les grosses confiances), comme le FCB peut s’appuyer sur ses stats pour montrer qu’il a le droit à l’erreur sans devenir une équipe de tocard dans l’instant.
-Entre le 25 novembre et le 4 décembre, nous avons obtenu un superbe ROI de 67%.
-Entre le 1er et le 5 décembre, nous avons même obtenu un monstrueux ROI de 73,5%.
-Sauf qu’entre le 5 et le 15 décembre, nous avons concédé un cauchemardesque ROI de… -7.7%.
Voilà une démonstration claire de la variance : sur une période donné, le ROI (Retour sur Investissement, qui est de 17% en moyenne pour L’Algo) a tendance à s’équilibrer.
Par conséquent, une belle période sur le court terme aura de fortes chances de laisser place à une période bien plus sombre : c’est ce qu’il vient de se passer, avec le bad run encaissé (merci Bilbao, Bordeaux, Manchester United ou Grenade…).
Mais garde le smile ! Parce que la réciproque est vraie : après cette horrible semaine, L’Algo devrait offrir une très bonne série sur le court terme. C’est la raison pour laquelle continuer à parier de la même manière ces prochains jours ressemble à une vraie bonne idée. Et ce, même si des mauvais résultats compliquent les choses d’un point de vue psychologique. Alors, mets de côté tes émotions négatives et ne lui laissent aucune place dans ta tête.

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Tout le monde se souvient du 14 février 2017. Ce soir-là, le FC Barcelone fut éclaté, écrabouillé, ridiculisé par le Paris Saint-Germain avec un Lionel Messi fantomatique. Fallait-il pour autant réduire le club espagnol à ce fiasco, et en conclure que la Pulga était terminée ? Non, bien entendu : les performances d’une équipe se jugent sur une saison, celles d’un joueur sur une carrière.

Et un seul week-end ne peut pas tout remettre en cause. La preuve : une vingtaine de jours plus tard, les Catalans avaient pris leur revanche sur les Français de manière incroyable (6-1) tout en ayant eu le temps de cogner Leganes (2-1), l’Atlético chez elle (2-1), le Sporting Gijon (6-1) ou le Celta Vigo (5-0). Sans oublier leur set de tennis, déjà, administré à Alavès (6-0) juste avant leur chute dans la capitale. Avec, au passage, huit buts pour l’Argentin. Tu nous vois venir ?

Sauce catalane

Loin de nous l’idée de comparer la plate-forme au Barça de Messi. Reste que pour L’Algo de Paulo, la notion de temporalité est similaire. Comme les Blaugranas en février 2017, L’Algo a passé une grosse semaine de merde : dans le jargon, on appelle ça un BAD RUN. Mais comme les Blaugranas en février/mars 2017, L’Algo devrait finalement connaître un super mois de décembre 2019 : dans le jargon, cela s’explique par le phénomène de VARIANCE.

Sauce sucrée-salée 

Reprenons donc notre histoire en chiffres (en prenant en compte les grosses confiances), comme le FCB peut s’appuyer sur ses stats pour montrer qu’il a le droit à l’erreur sans devenir une équipe de tocard dans l’instant.
-Entre le 25 novembre et le 4 décembre, nous avons obtenu un superbe ROI de 67%.
-Entre le 1er et le 5 décembre, nous avons même obtenu un monstrueux ROI de 73,5%.
-Sauf qu’entre le 5 et le 15 décembre, nous avons concédé un cauchemardesque ROI de… -7.7%.
Voilà une démonstration claire de la variance : sur une période donné, le ROI (Retour sur Investissement, qui est de 17% en moyenne pour L’Algo) a tendance à s’équilibrer.
Par conséquent, une belle période sur le court terme aura de fortes chances de laisser place à une période bien plus sombre : c’est ce qu’il vient de se passer, avec le bad run encaissé (merci Bilbao, Bordeaux, Manchester United ou Grenade…).
Mais garde le smile ! Parce que la réciproque est vraie : après cette horrible semaine, L’Algo devrait offrir une très bonne série sur le court terme. C’est la raison pour laquelle continuer à parier de la même manière ces prochains jours ressemble à une vraie bonne idée. Et ce, même si des mauvais résultats compliquent les choses d’un point de vue psychologique. Alors, mets de côté tes émotions négatives et ne lui laissent aucune place dans ta tête.

Sauce

franco-allemande

Mais attention, ce n’est pas parce qu’une défaite est « normale » qu’il ne faut pas en tirer des leçons et des profits. Neymar sera le premier à le dire : la Remontada n’aurait jamais eu lieu si lui et ses potes ne s’étaient pas remis en question et n’avaient pas observé leurs erreurs de l’aller. L’Algo a donc réfléchi, en regardant les chiffres suivants :
La Bundesliga offre un ROI de 62% pour 80% de réussite, avec une côte moyenne à 2.01… Fou.
La Ligue 1 donne 16.6% de ROI, pour 61% de réussite. Pas mal du tout.
La MLS, bientôt de retour, monte à 58% de ROI, pour 80% de réussite. Très joli.
– En revanche, la Liga du Barça déçoit avec un ROI de -2,5% pour 53% de réussite. Beurk.
D’où une stratégie affinée, pour les prochaines semaines. Et autant dire que les grosses confiances en Espagne, c’est terminé !

Sauce

franco-allemande

Mais attention, ce n’est pas parce qu’une défaite est « normale » qu’il ne faut pas en tirer des leçons et des profits. Neymar sera le premier à le dire : la Remontada n’aurait jamais eu lieu si lui et ses potes ne s’étaient pas remis en question et n’avaient pas observé leurs erreurs de l’aller. L’Algo a donc réfléchi, en regardant les chiffres suivants :
La Bundesliga offre un ROI de 62% pour 80% de réussite, avec une côte moyenne à 2.01… Fou.
La Ligue 1 donne 16.6% de ROI, pour 61% de réussite. Pas mal du tout.
La MLS, bientôt de retour, monte à 58% de ROI, pour 80% de réussite. Très joli.
– En revanche, la Liga du Barça déçoit avec un ROI de -2,5% pour 53% de réussite. Beurk.
D’où une stratégie affinée, pour les prochaines semaines. Et autant dire que les grosses confiances en Espagne, c’est terminé !

Nota bene

Ces fluctuations de résultats mettent en lumière toute l’importance d’avoir une gestion de bankroll rigoureuse. Ne lâche pas ta stratégie comme Luis Suarez ne lâche jamais l’idée d’une qualification, et ne mise jamais plus de 5% de ton capital (bankroll) sur un placement (match). Augmenter la fréquence de paris ou les mises ne peut être envisagé comme solution pérenne : les résultats précédents à court terme ne doivent pas impacter une tactique mise en place à long terme… Qui a déjà donné satisfaction. Au fait, combien de C1 et de championnats pour Barcelone ces dix dernières années ?

Nota bene

Ces fluctuations de résultats mettent en lumière toute l’importance d’avoir une gestion de bankroll rigoureuse. Ne lâche pas ta stratégie comme Luis Suarez ne lâche jamais l’idée d’une qualification, et ne mise jamais plus de 5% de ton capital (bankroll) sur un placement (match). Augmenter la fréquence de paris ou les mises ne peut être envisagé comme solution pérenne : les résultats précédents à court terme ne doivent pas impacter une tactique mise en place à long terme… Qui a déjà donné satisfaction. Au fait, combien de C1 et de championnats pour Barcelone ces dix dernières années ?