L’impact du coronavirus sur les paris sportifs

 

DU VIDE…

À EXPLOITER….

ET À FAIRE FRUCTIFIER….

L’impact du coronavirus sur les paris sportifs

 

DU VIDE…

À EXPLOITER….

ET À FAIRE FRUCTIFIER….

Il est des mots que nous utilisons au quotidien, et dont nous transformons sans cesse le sens premier. Le terme « vide » en fait partie. D’un point de vue scientifique et selon la physique, le vide incarne l’absence de toute matière. Rien à voir avec le vide que l’on connaît : une pinte sans bière.dedans n’est pas vide, elle est remplie d’atomes divers et variés ; une pièce sans les meubles de ton/ta conjoint(e) qui vient de te quitter n’est pas vide, elle.est toujours emplie d’oxygène te permettant de respirer ; un bookmaker sans côte à te proposer n’est pas vide, il est bourré d’équations mathématiques au repos derrière ton écran ; un laps de temps sans football n’est pas vide, il permet aux neurones de se poser et de réfléchir ; une période sans pari sportif n’est pas vide, elle doit servir à bien repartir et amène des conséquences positives/négatives auxquelles il faut se préparer… pour les exploiter au mieux, et faire fructifier ces jours que l’on croit « vides » parce qu’ils sont.moins « pleins » que d’habitude.

Anticiper l’imprévisible

Venons-en au but : quel genre d’impacts cette période d’arrêt – jamais vue.jusque-là – peut-on anticiper, et à quoi faut-il s’attendre niveau paris sportifs lorsque le coronavirus aura laissé le champ libre au ballon rond ? Même si l’incertitude règne aussi bien sur ce qui va arriver demain comme sur la.date à laquelle cette crise signera sa fin, trois grandes bulles.d’H2O semblent se former dans ce vide tout relatif et doivent nous donner la force de reprendre efficacement.notre vie en compagnie des paris.

Il est des mots que nous utilisons au quotidien, et dont nous transformons sans cesse le sens premier. Le terme « vide » en fait partie. D’un point de vue scientifique et selon la physique, le vide incarne l’absence de toute matière. Rien à voir avec le vide que l’on connaît : une pinte sans bière.dedans n’est pas vide, elle est remplie d’atomes divers et variés ; une pièce sans les meubles de ton/ta conjoint(e) qui vient de te quitter n’est pas vide, elle.est toujours emplie d’oxygène te permettant de respirer ; un bookmaker sans côte à te proposer n’est pas vide, il est bourré d’équations mathématiques au repos derrière ton écran ; un laps de temps sans football n’est pas vide, il permet aux neurones de se poser et de réfléchir ; une période sans pari sportif n’est pas vide, elle doit servir à bien repartir et amène des conséquences positives/négatives auxquelles il faut se préparer… pour les exploiter au mieux, et faire fructifier ces jours que l’on croit « vides » parce qu’ils sont.moins « pleins » que d’habitude.

Anticiper l’imprévisible

Venons-en au but : quel genre d’impacts cette période d’arrêt – jamais vue.jusque-là – peut-on anticiper, et à quoi faut-il s’attendre niveau paris sportifs lorsque le coronavirus aura laissé le champ libre au ballon rond ? Même si l’incertitude règne aussi bien sur ce qui va arriver demain comme sur la.date à laquelle cette crise signera sa fin, trois grandes bulles.d’H2O semblent se former dans ce vide tout relatif et doivent nous donner la force de reprendre efficacement.notre vie en compagnie des paris.

1- Retour des grands championnats = Retour des parieurs

Certes, personne ne peut affirmer à ce jour quand et comment les grosses compétitions vont redémarrer. Si elles reprennent, on devrait alors assister à un retour massif des pronostiqueurs. Effervescence que va devoir contrôler les bookmakeurs, déjà en détresse économique en ce moment. Les books vont donc faire tourner à plein régime leur algorithme.et leur ressources humaines pour les gros championnats européens, quitte à délaisser les championnats de niche. Des opportunités pourraient ainsi voir le jour. D’autant que les parieurs émotifs frustrés par des semaines de sevrage vont potentiellement.jouer n’importe comment, et donc faire fructifier les côtes plus que de raison. Attention à l’émotion, servons-nous de la prévention.

2- Forme des joueurs = point d’interrogation

Les préparateurs physiques des clubs professionnels sont les premiers à le dire : tout le monde n’a pas la salle de musculation de Cristiano Ronaldo pour garder un rythme soutenu pendant le confinement, et personne n’a jamais expérimenté.ce genre de repos imposé entre la trêve hivernale et les vacances estivales. Comment les corps vont-ils s’adapter, si un sprint de dix matchs survient alors que les organismes n’ont pu faire que quelques footings à un kilomètre à la ronde autour de leur domicile ? Comment les joueurs, habituellement encadrés et mis au régime sportif/alimentaire/sanitaire par leur club,.vont-ils répondre à un calendrier impossible à préparer ? Ici, les mathématiques pourraient jouer un rôle encore plus prépondérant dans la sélection des bons paris sportifs. Au même titre que les gros effectifs pouvant gérer les blessures et les baisses.de performances qui surviendront, alors que le ressenti des bookmakers sera à analyser.avec précaution.

1- Retour des grands championnats = Retour des parieurs

Certes, personne ne peut affirmer à ce jour quand et comment les grosses compétitions vont redémarrer. Si elles reprennent, on devrait alors assister à un retour massif des pronostiqueurs. Effervescence que va devoir contrôler les bookmakeurs, déjà en détresse économique en ce moment. Les books vont donc faire tourner à plein régime leur algorithme et leur ressources humaines pour les gros championnats européens, quitte à délaisser les championnats de niche. Des opportunités pourraient ainsi voir le jour. D’autant que les parieurs émotifs frustrés par des semaines de sevrage vont potentiellement jouer n’importe comment, et donc faire fructifier les côtes plus que de raison. Attention à l’émotion, servons-nous de la prévention.

2- Forme des joueurs = point d’interrogation

Les préparateurs physiques des clubs professionnels sont les premiers à le dire : tout le monde n’a pas la salle de musculation de Cristiano Ronaldo pour garder un rythme soutenu pendant le confinement, et personne n’a jamais expérimenté ce genre de repos imposé entre la trêve hivernale et les vacances estivales. Comment les corps vont-ils s’adapter, si un sprint de dix matchs survient alors que les organismes n’ont pu faire que quelques footings à un kilomètre à la ronde autour de leur domicile ? Comment les joueurs, habituellement encadrés et mis au régime sportif/alimentaire/sanitaire par leur club, vont-ils répondre à un calendrier impossible à préparer ? Ici, les mathématiques pourraient jouer un rôle encore plus prépondérant dans la sélection des bons paris sportifs. Au même titre que les gros effectifs pouvant gérer les blessures et les baisses de performances qui surviendront, alors que le ressenti des bookmakers sera à analyser avec précaution.

3- L’Algo de Paulo = toujours adapté

La force de l’Algo pour cette fin de saison imprévisible, c’est que Paulo s’est toujours basé sur les équipes. Et que celles-ci, bingo, n’auront pas changé à la reprise. En outre, les championnats ne devraient pas repartir de zéro et les enjeux seront donc très importants. Or, un faible enjeu (en début d’exercice en général, sauf si on parle des dernières journées du Paris Saint-Germain qui comptent déjà 37 points d’avance en tête de la Ligue 1) réduit statistiquement le pouvoir des mathématiques. Autrement dit, l’Algo te serre encore mieux la main quand les objectifs concrets (titre, qualification en coupe d’Europe, maintien…) se rapprochent.

La période actuelle ne doit donc pas être considérée comme (une coquille) vide (de sens ou d’esprit), seulement comme une étape pour refaire le plein.
Rien ne se perd, rien ne se créé : tout se transforme !

3- L’Algo de Paulo = toujours adapté

La force de l’Algo pour cette fin de saison imprévisible, c’est que Paulo s’est toujours basé sur les équipes. Et que celles-ci, bingo, n’auront pas changé à la reprise. En outre, les championnats ne devraient pas repartir de zéro et les enjeux seront donc très importants. Or, un faible enjeu (en début d’exercice en général, sauf si on parle des dernières journées du Paris Saint-Germain qui comptent déjà 37 points d’avance en tête de la Ligue 1) réduit statistiquement le pouvoir des mathématiques. Autrement dit, l’Algo te serre encore mieux la main quand les objectifs concrets (titre, qualification en coupe d’Europe, maintien…) se rapprochent.

La période actuelle ne doit donc pas être considérée comme (une coquille) vide (de sens ou d’esprit), seulement comme une étape pour refaire le plein.
Rien ne se perd, rien ne se créé : tout se transforme !