Les secrets des bookmakers…. dénichés par Paulo… exploités par l’algo !

 

Les secrets des bookmakers

 

Qu’on le veuille ou non, ce monde est régi par les mathématiques. Tu l’as compris,.Paulo l’a compris, les bookmakers l’ont compris. Sauf que ces derniers, plus malins mercantiles que la moyenne, en ont fait leur business. Et devant ce constat, comme face aux maths que l’éducation nationale a bien du mal à rendre sexy (voir cet article de SoFoot ), le débutant que tu étais a sûrement abandonné l’idée de comprendre le fonctionnement des books. A l’image de l’adolescent boutonneux qui traînait les pieds dans ton collège au moment d’aller en cours de géométrie, et qui trouvait bien plus d’inspiration pour faire l’école buissonnière que pour résoudre des équations.

Un bookmaker à mater

En réalité, les maths ne s’avèrent pas difficiles à appréhender tant qu’elles sont bien présentées. Ivan Kiriow le prouve avec son dernier bouquin de.vulgarisation « Dans le secret des mathématiques » (éditions Larousse), où il fait passer les nombres premiers, les fractales, l’infini et pi pour de charmants amis venant boire une bière avec toi. Rassure-toi : Paulo fait de même avec le monde des bookmakers, et te propose un happy hour avec Messieurs Bwin, Unibet, Betclic ou Parionsweb ! Installe-toi, on a déjà commandé quatre verres de secrets pour t’expliquer comment nos copains.établissent leurs côtes….

Qu’on le veuille ou non, ce monde est régi par les mathématiques. Tu l’as compris,.Paulo l’a compris, les bookmakers l’ont compris. Sauf que ces derniers, plus malins mercantiles que la moyenne, en ont fait leur business. Et devant ce constat, comme face aux maths que l’éducation nationale a bien du mal à rendre sexy (voir cet article de SoFoot ), le débutant que tu étais a sûrement abandonné l’idée de comprendre le fonctionnement des books. A l’image de l’adolescent boutonneux qui traînait les pieds dans ton collège au moment d’aller en cours de géométrie, et qui trouvait bien plus d’inspiration pour faire l’école buissonnière que pour résoudre des équations.

Un bookmaker à mater

En réalité, les maths ne s’avèrent pas difficiles à appréhender tant qu’elles sont bien présentées. Ivan Kiriow le prouve avec son dernier bouquin de.vulgarisation « Dans le secret des mathématiques » (éditions Larousse), où il fait passer les nombres premiers, les fractales, l’infini et pi pour de charmants amis venant boire une bière avec toi. Rassure-toi : Paulo fait de même avec le monde des bookmakers, et te propose un happy hour avec Messieurs Bwin, Unibet, Betclic ou Parionsweb ! Installe-toi, on a déjà commandé quatre verres de secrets pour t’expliquer comment nos copains.établissent leurs côtes….

Le secret des bookmakers, une histoire de chiffres

1- Le court terme, premier coup de craie

Première gorgée, premier aveu : l’étude statistique des books se restreint au court terme. C’est-à-dire que le bookmaker privilégie les performances de la saison en cours (l’Olympique de Marseille est deuxième, sa côte sera donc minime) et les confrontations directes (Dijon a battu le Paris Saint-Germain en championnat au match aller, sa côte sera donc moins grosse que prévu). Il n’y donc ni analyse profonde des années passées, ni lissage mathématique des performances. Au contraire de l’Algo. Remarque, ça n’aurait pas été plus mal si ton professeur de lycée avait oublié ta réputation avant de te faire cours…

2- L’intervention humaine, faute de calcul

Deuxième pinte, deuxième confession. Oui, il y a prise en compte des événements particuliers (départ de l’entraîneur, blessure du joueur majeur, équipe bis annoncée, mis en examen du président…) via une intervention humaine qui ajuste la côte en fonction de ces faits divers (Lionel Messi vient de se blesser ? Bim, côte de Barcelone gonflée). Le bookmaker se met donc dans la peau du parieur, chose encore plus vraie lors des lives. Sauf que ce réflexe, pas forcément idiot en apparence, est lié à un ressenti humain et n’est donc pas forcément profitable au book sur le long terme. Au fait, ta prof de maths t’a déjà augmenté ta note juste parce tu étais malade, toi ?

Le secret des bookmakers, une histoire de chiffres

1- Le court terme, premier coup de craie

Première gorgée, premier aveu : l’étude statistique des books se restreint au court terme. C’est-à-dire que le bookmaker privilégie les performances de la saison en cours (l’Olympique de Marseille est deuxième, sa côte sera donc minime) et les confrontations directes (Dijon a battu le Paris Saint-Germain en championnat au match aller, sa côte sera donc moins grosse que prévu). Il n’y donc ni analyse profonde des années passées, ni lissage mathématique des performances. Au contraire de l’Algo. Remarque, ça n’aurait pas été plus mal si ton professeur de lycée avait oublié ta réputation avant de te faire cours…

2- L’intervention humaine, faute de calcul

Deuxième pinte, deuxième confession. Oui, il y a prise en compte des événements particuliers (départ de l’entraîneur, blessure du joueur majeur, équipe bis annoncée, mis en examen du président…) via une intervention humaine qui ajuste la côte en fonction de ces faits divers (Lionel Messi vient de se blesser ? Bim, côte de Barcelone gonflée). Le bookmaker se met donc dans la peau du parieur, chose encore plus vraie lors des lives. Sauf que ce réflexe, pas forcément idiot en apparence, est lié à un ressenti humain et n’est donc pas forcément profitable au book sur le long terme. Au fait, ta prof de maths t’a déjà augmenté ta note juste parce tu étais malade, toi ?

3- Les taxes, le compas dans l’oeil

Passage à l’alcool fort, troisième confidence. Que laquelle L’Algo ne peut cette fois pas contrer, du moins pas en France. Il s’agit des taxes déguisées sur les paris, qui permettent au bookmaker de s’en mettre plein les fouilles.(sans payer sa tournée, cela va de soi) : à l’intérieur de nos frontières, chaque côte est quasi systématiquement réduite de 15% par rapport à ce qu’elle devrait être. La victoire de la Juventus sur le terrain de l’Olympique Lyonnais en C1 est fixée à environ 1,70 ? En réalité, elle mérite une côte de 2. Heureusement, les valuebets existent encore… grâce, notamment, à l’intervention humaine. Oui, le book incarne cet enseignant hyper sévère qui te collait un.10/20 au lieu d’un 12 parce que tu avais oublié d’écrire la consigne.

4- L’évènement peu médiatisé, l’opportunité infinie

Shooters de fin, dernière révélation : les fluctuations des côtes des bookmakers (équilibrage, analyse de la concurrence et de l’actualité) sont – beaucoup – plus précises sur les évènements de masse comme les gros championnats (Premier League, Liga…) ou les coupes ultra médiatisées (Ligue des Champions, Coupe du Monde…). Il existe donc des compétitions de niches, qui s’appellent par exemple la MLS où l’Algo se montre très puissant. Le pion le plus charismatique de ton bahut n’était pas forcément le mieux placé pour te faire réussir ton examen, si ?

Toujours debout ? Alors, souviens-toi que les bookmakers ajustent les côtes pour inciter le parieur à miser là où ça les arrange financièrement. Si 70% des mises sont posées sur le Real Madrid à domicile en Ligue des Champions, la côte de Manchester City augmentera.logiquement (et subtilement, pour que le book reste gagnant) de manière à attirer le parier qui verra l’appât du gain. Là réside le piège, mais aussi l’occasion : l’équilibrage des côtes joue en effet clairement en notre faveur. Car dans les mathématiques, tout aspect émotionnel est mis de côté. Tout l’inverse de la masse de parieurs, qui ne joue qu’aux ressentis et à l’attachement

« Si les gens ne croient pas que les mathématiques sont simples, c’est uniquement.parce qu’ils ne mesurent pas à quel point la vie est compliquée », disait John von Neuman. Raison pour laquelle l’Algo de Paulo ambitionne de faciliter ton existence…

3- Les taxes, le compas dans l’oeil

Passage à l’alcool fort, troisième confidence. Que laquelle L’Algo ne peut cette fois pas contrer, du moins pas en France. Il s’agit des taxes déguisées sur les paris, qui permettent au bookmaker de s’en mettre plein les fouilles.(sans payer sa tournée, cela va de soi) : à l’intérieur de nos frontières, chaque côte est quasi systématiquement réduite de 15% par rapport à ce qu’elle devrait être. La victoire de la Juventus sur le terrain de l’Olympique Lyonnais en C1 est fixée à environ 1,70 ? En réalité, elle mérite une côte de 2. Heureusement, les valuebets existent encore… grâce, notamment, à l’intervention humaine. Oui, le book incarne cet enseignant hyper sévère qui te collait un 10/20.au lieu d’un 12 parce que tu avais oublié d’écrire la consigne.

4- L’évènement peu médiatisé, l’opportunité infinie

Shooters de fin, dernière révélation : les fluctuations des côtes des bookmakers (équilibrage, analyse de la concurrence et de l’actualité) sont – beaucoup – plus précises sur les évènements de masse comme les gros championnats (Premier League, Liga…) ou les coupes ultra médiatisées (Ligue des Champions, Coupe du Monde…). Il existe donc des compétitions de niches, qui s’appellent par exemple la MLS où l’Algo se montre très puissant. Le pion le plus charismatique de ton bahut n’était pas forcément le mieux placé pour te faire réussir ton examen, si ?

Toujours debout ? Alors, souviens-toi que les bookmakers ajustent les côtes pour inciter le parieur à miser là où ça les arrange financièrement. Si 70% des mises sont posées sur le Real Madrid à domicile en Ligue des Champions, la côte de Manchester City augmentera.logiquement (et subtilement, pour que le book reste gagnant) de manière à attirer le parier qui verra l’appât du gain. Là réside le piège, mais aussi l’occasion : l’équilibrage des côtes joue en effet clairement en notre faveur. Car dans les mathématiques, tout aspect émotionnel est mis de côté. Tout l’inverse de la masse de parieurs, qui ne joue qu’aux ressentis et à l’attachement

« Si les gens ne croient pas que les mathématiques sont simples, c’est uniquement.parce qu’ils ne mesurent pas à quel point la vie est compliquée », disait John von Neuman. Raison pour laquelle l’Algo de Paulo ambitionne de faciliter ton existence…